Parkett – 101em édition – mais sans fin…

Parkett – internationale Basis für contemporäre Kunst…..

Fortan widmeten sich Burckhardt, Curiger und von Graffenried dem gross-artigen, publizistischen Schwergewicht, seit 1984. Parkett kam stets als ein Kunstwerk daher.

Carte blanche

Künstlerinnen und Künstler gestalteten oft das Äussere und hatten 10 bis 12 Seiten im Inneren für sich. Carte blanche – mit dieser Intention und gemäss der künstlerischen Freiheit waren alle grossen und kleinen aus der Zunft eingeladen – und kamen.

Stets im Vertrauen, bei Jacqueline Burckhardt, Bice Curiger und Dieter von Graffenried sich gut aufgehoben und ob deren Wertschätzung zu wissen.  So fanden im Laufe von drei Jahrzehnten viele Artistinnen und Artisten zu Parkett.  Dazu entstand jeweils ein ganz besonderes „Supplément“: Ein Projekt – ein Kunstwerk, insgesamt 270 – erdacht für die Leser- und Sammlerschaft.

Nicht selten hatte es die bewusste Grösse einer Magazinseite. Und davon erzählte auch die Ausstellung in der Nationalbibliothek der Schweiz.

Die Redaktion legte grossen Wert auf die Kooperation mit der jeweilig eingeladenen Künstlerin oder dem jeweiligen Künstler. Nur so gelang es, die insgesamt 101 Bände von Parkett herzustellen. Freiheit der Kunst war die Losung. 

Parkett – base internationale pour l’art contemporain

Parkett, http://www.parkettart.com le magazine d’art renommé en Suisse, a paru pour la dernière fois dans l’édition 101. La rédaction arrête la version imprimée, mais restera présente en ligne à l’avenir – une chance pour l’art, les artistes et les amateurs d’art.

Au début, avec 5 protagonistes ….

Au début, la rédaction était composée de Jacqueline Burckhardt, Peter Blum, Bice Curiger, Dieter von Graffenried et Walter Keller. Puis Peter Blum et Walter Keller ont pris leur propre chemin.

Depuis 1984, Burckhardt, Curiger et von Graffenried se consacrent à ce poids lourd éditorial. Parkett a toujours été considéré comme une œuvre d’art.

Carte blanche

Les artistes décoraient souvent l’extérieur et avaient pour eux 10 à 12 pages à l’intérieur. Carte blanche – c’est avec cette intention et conformément à la liberté artistique que tous les grands et petits de la corporation ont été invités – et sont venus.

Toujours confiants, ils savaient que Jacqueline Burckhardt, Bice Curiger et Dieter von Graffenried étaient à leurs côtés et qu’ils les appréciaient. C’est ainsi qu’en l’espace de trois décennies, de nombreux artistes ont rejoint le parquet. Un projet – une œuvre d’art, 270 au total – a été conçu pour les lecteurs et les collectionneurs.

Il n’était pas rare qu’il ait la taille d’une page de magazine. L’exposition à la Bibliothèque nationale de Suisse en parlait également.

Des archives vivantes – à Arles

La Fondation LUMA à Arles https://www.luma-arles.org sera prochainement gratifiée de cet ensemble d’œuvres d’art – il en existe plusieurs éditions, l’une d’entre elles abrite notamment le Museum of Modern Art de New York – et fera son entrée dans le centre culturel construit par Frank Gehry. Les archives du parquet y trouveront également leur place.

La rédaction a accordé une grande importance à la coopération avec l’artiste invité. Ce n’est qu’ainsi qu’il a été possible de produire les 101 volumes de Parkett. La liberté de l’art était le mot d’ordre.

Dans l’exposition bernoise – on ne peut échapper à l’atmosphère agréable d’un salon – les numéros de Parkett peuvent être admirés sur des tablettes numériques et consultés sur https://www.e-periodica.ch/digbib/volumes?UID=ptt-001. Presque toutes les éditions imprimées sont également disponibles à la lecture. Parkett transmet (e) le plaisir de l’art qui tient compte du concept d’exposition artistique.

Parkett ne fait pas ses adieux au monde de l’art, mais seulement à la presse écrite. Parkett continue à vivre, différemment, en numérique par exemple. C’est une bonne chose.