Gefahr für die Freiheit der Kunst ….

Die Freiheit der Kunst ist in Gefahr ….

Freiheit der Kunst ist in Gefahr - La liberté de l'art en danger
Freiheit der Kunst ist in Gefahr – La liberté de l’art en danger


Politische und klerikale Kreise missbrauchen die Kunst für ihre Aktionen.

Bereits mit der Documenta, die schon im Vorfeld Diffamierungen ausgesetzt war, haben sich politische und religiöse Kreise als Zensoren der Kunst positioniert.

Kulturbürokraten entscheiden in derem Sinne über richtige und falsche Kunst. Teile der Presse verdingen sich als Boten dieser Politik.

Diese Angriffe auf die Kunst- und Meinungsfreiheit wiederholen sich.  

Die diesjährige Literaturpreisrägerin Adania Shibli wurde von der Frankfurter Buchmesse ausgeladen, weil sie Palästinenserin ist.

Die Rede von Slavoj Žižek wurde von Missfallensbekundungen begleitet. Daran beteiligten sich deutsche Politfiguren.

David Velasco verlor seine Stelle als Chefredakteur des ARTFORUM – er hatte einen von in der Kunst und Kultur Tätigen (USA) verfassten Offenen Brief publiziert. Es war ein Appell, der das Ende des Tötens und Verwundens aller Zivilistinnen und Zivilisten, einen sofortigen Waffenstillstand und ad hoc humanitäre Hilfe in Gaza forderte.

Jetzt sagte der Vorstand der Stiftung Saarländischer Kulturbesitz (SSK) eine für 2024 in der Modernen Galerie geplante Ausstellung von Candice Breitz ab.

Der Künstlerin wird eine indifferente Haltung gegenüber dem aktuellen Nahost-Konflikt zur Vorwurf gemacht: Aus diesem Grund hat der Vorstand entschieden, dass er Künstler:innen kein Podium zur Verfügung stellt, die den Terror der Hamas nicht als Zivilisationsbruch anerkennen oder die bewusst oder unbewusst die Trennschärfen von legitimen und illegitimen Handeln aufheben – so die Stiftung Saarländischer Kulturbesitz.

Die Aussage von Frau Jahn, Direktorin des Saarlandmuseums und zugleich Vorständin der Stiftung Saarländischer Kulturbesitz  …. möchte klar zum Ausdruck bringen, dass es hier nicht um eine Kritik am Werk und der künstlerischen Position von Candice Breitz geht,  sagt alles.

Die sich auf Candice Breitz beziehende Unterstellung ist ungeheuerlich und impliziert eine Rufschädigung. 

https://linktr.ee/candicebreitz

Kritische Positionen von Künstlerinnen und Künstlern werden diskreditiert, was sich gerade jetzt exemplarisch darstellt. 

Von ihnen initiierte Friedensaufrufe, Spendensammlungen et cetera zeigen die Immens der Solidarität auf, die alle Opfer betrifft.
 
Während die herrschende Politik eine bedingungslose, opportunistische und einseitige Einstellung gegenüber Israel als Dogma einfordert, engagieren sich Künstlerinnen und Künstler für den Frieden, ohne jedoch zu den Gräueltaten von Hamas und israelischer Regierung zu schweigen. Diese Position wird all denjenigen nun zum Verhängnis.
 

Die Entwicklung nimmt den Weg zur Gesinnungs-Kunst. So etwas ist hierzulande nicht unbekannt. Bald wird ein Schwur verlangt ….

Das Saarlandmuseum hat dem eigenen Ruf mit der ablehnenden Entscheidung, Candice Breitz auszustellen, geschadet.

Die Politik bemächtigt sich der Kunst (und Kultur), die die Folgen der internationalen Politik nun zu tragen hat.
 
Ein Wesen von Gesellschaft, ihre künstlerische und kulturelle Stimme , soll versiegen….
Alles bildet den Grundtenor: Man will nicht sehen, nicht diskutieren und nicht zuhören. Gefahr für die Freiheit von Gedanken, Meinungen, Kunst und Kultur.
 
À ce propos: Candice Breitz ist eine Jüdin
 

Für die Freiheit der Kunst!

post scriptum: Antisemitismus ist abzulehnen, wie auch Rassimus, Misogynie.
Mit dem Antisemitismus-Vorwurf etwa wegen geäusserter Kritik an der reaktionären israelischen Regierungspolitik will man jegliche Diskussion unterbinden. Das scheint Dank der symbiotischen Beziehung zwischen Israels Regierenden und der deutschen Politikszene zu funktionieren. Alles, was nur den Anschein eines antisemitischen Hintergrundes erweckt, wird mit einem Bann belegt. Eine Differenzierung findet nicht statt. Diese Szene überrollt die Kunst, Literatur ….
 

Danger pour la liberté de l’art ….

Les cercles politiques et cléricaux détournent l’art pour leurs actions.

Déjà lors de la Documenta, qui a été exposée à des diffamations avant même d’avoir lieu, les milieux politiques et religieux se sont positionnés comme censeurs de l’art.

Les bureaucrates culturels décident dans leur sens du bon et du mauvais art. Une partie de la presse se fait le messager de cette politique.

Ces attaques contre la liberté d’expression et la liberté artistique se répètent.  

La lauréate du prix littéraire de cette année, Adania Shibli, a été exclue de la Foire du livre de Francfort parce qu’elle est palestinienne.

Le discours de Slavoj Žižek a été accompagné de manifestations de désapprobation. Des personnalités politiques allemandes y ont également participé.

David Velasco a perdu son poste de rédacteur en chef d’ARTFORUM – il avait publié une lettre ouverte dans le journal, rédigée par des personnes travaillant dans le domaine des arts et de la culture (États-Unis). Il s’agissait d’un appel demandant la fin des tueries et des blessures de tous les civils, un cessez-le-feu immédiat et une aide humanitaire ad hoc pour Gaza.

Aujourd’hui, le conseil d’administration de la Stiftung Saarländischer Kulturbesitz (SSK) annule une exposition de Candice Breitz prévue pour 2024 à la Moderne Galerie.

Il est reproché à l’artiste une attitude indifférente au conflit actuel au Proche-Orient. Pour cette raison, le curatorium a décidé de ne pas offrir de scène aux artistes qui ne reconnaissent pas la terreur du Hamas comme une rupture de civilisation ou qui, consciemment ou inconsciemment, abolissent les frontières entre les actes légitimes et illégitimes – selon la Fondation du patrimoine culturel sarrois.

La déclaration de Mme Jahn, directrice du Saarlandmuseum et également présidente de la Fondation du patrimoine culturel sarrois  .… souhaite exprimer clairement qu’il ne s’agit pas ici d’une critique de l’œuvre et de la position artistique de Candice Breitz, dit tout.

L’insinuation qui se référait à Candice Breitz était monstrueuse et comportait une atteinte à la réputation. 

https://www.instagram.com/candicebreitz/
https://linktr.ee/candicebreitz

Les positions critiques des artistes sont discréditées, comme on le voit actuellement de manière exemplaire. 
Leurs appels à la paix, leurs collectes de fonds et autres montrent l’imminence d’une solidarité qui concerne toutes les victimes.
Alors que la politique dominante exige comme dogme une attitude opportuniste et unilatérale inconditionnelle envers Israël,
des artistes s’engagent pour la paix, sans pour autant dénoncer les atrocités commises par le Hamas et le gouvernement israélien.
de se taire. Cette attitude est désormais fatale à tous ces derniers.

L’évolution prend le chemin de l’art de la persuasion. Ce genre n’est pas inconnu dans notre pays. Bientôt, un serment sera exigé ….

Le Saarlandmuseum a terni sa propre réputation en refusant d’exposer Candice Breitz.

La politique s’empare de l’art (et de la culture), qui doit désormais supporter les conséquences de la politique internationale.

Une essence de la société, sa voix artistique et culturelle, doit se tarir…..

Tout se passe comme si l’on ne voulait pas voir, discuter et écouter. Danger pour la liberté de pensée, d’opinion, d’art et de culture.

À ce propos: Candice Breitz est juive.

Pour la liberté de l’art !

post scriptum : L’antisémitisme doit être rejeté au même titre que le racisme et la misogynie.
En qualifiant d’antisémitisme toute critique de la politique réactionnaire du gouvernement israélien, on cherche à empêcher toute discussion. Cela semble fonctionner grâce à la relation symbiotique entre les dirigeants israéliens et la scène politique allemande. Tout ce qui pourrait donner l’impression d’antisémitisme est banni. Il n’y a pas de différenciation. Cette scène imprègne l’art, la littérature ….