Johann König – Realität oder Fiktion ?

Johann König

Johann König, Paris
Johann König, Paris

Johann König werden misogynistische Auftritte vorgeworfen. Er soll sich übergriffig gegenüber Frauen verhalten haben. Die Presse berichtete darüber. 
Sollte dies zutreffen und ein Anfangsverdacht ob einer möglichen strafbewerten Tat (oder Taten) existieren, wäre das ein Thema für die Justiz.
 
Solange dem nicht so ist, gilt die Unschuldsvermutung.
 
Mittlerweile sind erfreulicherweise Teile der Gesellschaft in Zusammenhang mit der Thematik Frauenfeindlichkeit sensibel. 
Nicht zu übersehen sind allerdings auch Momente, in denen je nach Gestus man vorschnell reagiert und sich positioniert. Das könnte zu Beschädigungen von Personen führen und letztlich dem eigentlichen Anliegen nach Gerechtigkeit nicht von Nutzen sein.
 
Hat König sich, so wie behauptet, gegenüber Frauen so genähert, gäbe es nichts zu beschönigen, auch wenn etwa  im Nachhinein daraus kein Strafverfahren respektive rechtskräftiges Urteil erfolge. Ergibt sich aber, dass die Vorwürfe haltlos waren, wurde ihm massiv geschadet.
 
Bedenklich ist, dass die Medien sich teilweise auf anonyme Aussagen stützen. Das spricht nicht für Qualitätsjounalismus.
 
Nachdenklich macht auch, dass (angeblich) betroffene Frauen den Weg zu Ermittlungsbehörden gescheut haben sollen, weil sie Nachteile für ihre berufliche Zukunft befürchtet, Repressalien geahnt oder finanzielle Beeinträchtigungen vermutet hätten. 
 
Ihre Beweggründe sind tragisch, ihr opportunistisches und egoistisches Verhalten jedoch verwerflich. Denn sie fallen damit allen Frauen und den so relevanten feministischen Initiativen in den Rücken.
 
Oder geht es hier (auch) um eine Campagne gegen einen erfolgreichen Galeristen, initiiert von Neidern jeglicher Couleur?
 
Die im Raume stehenden Anschuldigungen sind nicht als Eskapaden oder aus dem Ruder gelaufenen fêtes conditionnées par le mileu klein zu reden. Sie sind zu schwer. 
 
Bleibt es allerdings nur bei den äusserst schlecht recherchierten und mangels Sorgfalt zu kritisierenden Pressemeldungen und erfolgt kein Strafverfahren gegen Johann König, ist er in seiner Ehre erheblich verletzt. Dass er sich in der Situation sieht, mit rechtlichen Mitteln gegen die Diffamierer vorzugehen, ist logisch und konsequent.
 
Johann König – Réalité ou fiction ?
 
Johann König est accusé d’avoir fait des apparitions misogynes. Il aurait eu un comportement agressif envers les femmes. La presse en a fait état. 
 
Si cela s’avérait exact et qu’il existait un soupçon initial d’un (ou de) acte(s) susceptible(s) d’être sanctionné(s), cela relèverait de la justice.
Tant que ce n’est pas le cas, la présomption d’innocence s’applique.
 
Entre-temps, une partie de la société est heureusement devenue sensible à la thématique de la misogynie. 
Il ne faut cependant pas négliger les moments où, selon les gestes, on réagit et on se positionne trop vite. Cela pourrait porter atteinte à des personnes et, en fin de compte, ne pas servir la cause de la justice.
 
Si König s’est approché des femmes de cette manière, comme il l’a prétendu, il n’y aurait pas lieu d’enjoliver les choses, même s’il n’y a pas de procédure pénale ou de jugement définitif après coup.
Un jugement serait prononcé. Mais s’il s’avère que les reproches étaient infondés, il a subi un préjudice considérable.
 
Il est inquiétant de constater que les médias s’appuient en partie sur des déclarations anonymes. Cela ne plaide pas en faveur d’un journalisme de qualité.
 
Le fait que des femmes (soi-disant) concernées aient hésité à se rendre auprès des autorités d’enquête parce qu’elles craignaient des inconvénients pour leur avenir professionnel donne également à réfléchir,
Elles auraient pressenti des représailles ou soupçonné des préjudices financiers. 
Leurs motivations sont tragiques, mais leur comportement opportuniste et égoïste est condamnable. Car ce faisant, ils nuisent à toutes les femmes
et aux initiatives féministes si importantes.
 
Ou s’agit-il (aussi) d’une campagne contre un galeriste à succès, initiée par des envieux de tous bords ?
 
Les accusations portées ne doivent pas être réduites à des escapades ou à des fêtes conditionnées par le milieu. Elles sont trop graves. 
 
Mais si l’on en reste aux informations de presse extrêmement mal documentées et critiquables par manque de rigueur, et qu’aucune procédure pénale n’est engagée contre Johann König, son honneur est gravement atteint. Il est logique et cohérent qu’il se trouve dans la situation de recourir à des moyens juridiques contre les diffamateurs.