Antoine de Galbert – Die Zeit nach La Maison Rouge ….
La Maison Rouge war nie für Antoine de Galbert der Ort, um die eigene Collection zu zeigen. Er lud andere ein wie etwa Harald Falckenberg.
Die Fondation ging mit der École du Louvre eine Partnerschaft ein. Neben der Entwicklung eines Postgradierten-Programms werden Stipendien vergeben. De Galbert’ Grosszügigkeit erfuhren auch die École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy und Ecole d’art de Guyane.
Darüberhinaus ist Antoine de Galbert auch anderweitig verlegerisch tätig. So erschienen zuletzt Bücher etwa zu Lucienne Peiry, Antoine d’Agata, Théo Mercier, La Possession du monde n’est pas ma priorité, Artistes syriens en exil, œuvres et récits, Unica Zürn, Hubert Duprat, Andrea Bellini et Sarah Lombardi, Wolfgang Stoerchle par Alice Dusapin, Mandelbaum, Collection Bruno Decharme et compagnie.
Antoine de Galbert – La Fondation et bien plus encore … : Le temps après La Maison Rouge
Beaucoup ont regretté la fermeture de La Maison Rouge. Et à juste titre. La maison de l’art (comprenant une librairie et un restaurant) a présenté des expositions inhabituelles – des événements à Paris.
Le directeur, Antoine de Galbert, ne craint pas le risque et ne manque pas de courage pour aborder les thèmes. L’intention conceptuelle et curatoriale des expositions poursuivait également une ambition artistique et intellectuelle. Le commissariat de l’exposition Le Mur, La Collection Antoine de Galbert a été réalisé par un programme informatique : Methodé Monte Carlo ( G = E (g(X)) = ∫ g (x) ƒx (x) dx). Le catalogue était un fanfold (ISBN 978-2-84975-333-0).
Il y avait aussi des aspects politico-culturels. À titre d’exemple, l’exposition de Ceija Stojka a été mentionnée. La Maison Rouge n’a jamais été l’endroit où Antoine de Galbert a présenté sa propre collection. Il en a invité d’autres, comme Harald Falckenberg.
Avec la fin de La Maison Rouge de Galbert, il poursuit son engagement pour l’art avec la Fondation.
La Fondation a conclu un partenariat avec l’École du Louvre. Outre le développement d’un programme de troisième cycle, des bourses sont accordées. La générosité de De Galbert s’est également étendue à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, à l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy et à l’École d’art de Guyane.
Du point de vue de l’édition, la Fondation poursuit la coopération avec JRP|Editions et Presses du réel qui existe déjà depuis La Maison Rouge. Trois publications sont prévues pour cette année et l’année prochaine.
Antoine de Galbert est également actif dans d’autres domaines de l’édition. Des livres sont parus récemment sur Lucienne Peiry, Antoine d’Agata, Théo Mercier, La Possession du monde n’est pas ma priorité, Artistes syriens en exil, œuvres et récits, Unica Zürn, Hubert Duprat, Andrea Bellini et Sarah Lombardi, Wolfgang Stoerchle par Alice Dusapin, Mandelbaum, Collection Bruno Decharme et compagnie.
Un soutien a été apporté à des ateliers de Thibault de Gialluly, par exemple, à des projets de voyages et de recherche de Charles Fréger, à des bourses avec des artistes tels que Nour Asalia, à un soutien à la production du film d’Eric Baudelaire.
Au cours des deux dernières années, le Collectionneur a également soutenu des expositions dans des musées tels que le Centre Dominique-Vivant Denon, le Musée du Louvre, le Musée international des arts modestes, le Musée d’art contemporain de Lyon, le Musée national d’art moderne Centre Pompidou, le Musée d’art et d’histoire de l’Hôpital Sainte-Anne, l’Association SHED Rouen et le Musée d’art et d’histoire de Saint Denis.
Fondation Antoine de Galbert
52 rue de Charenton
75012 Paris, France
Téléphone 0033 1 43 41 44 13
info@fondationantoinedegalbert.org
https://fondationantoinedegalbert.org/fondation/