Antoine de Galbert – Die Fondation und viel mehr ….

Antoine de Galbert – Die Zeit nach La Maison Rouge ….

Antoine de Galbert
Antoine de Galbert, Paris

Viele haben die Schliessung La Maison Rouge bedauert. Zu recht. Das Kunsthaus (samt Librairie und Restaurant) präsentierte ungewöhnliche Ausstellungen – Ereignisse in Paris.
Direktor Antoine de Galbert scheute weder Risiko noch fehlte es ihm an Mut, sich Themen zu widmen. Auch die konzeptionelle und kuratorische Intention der Expositionen verfolgte einen künstlerischen und intellektuellen Anspruch.
 
Antoine de Galbert, la maison rouge, Paris
La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
Die Kuration der Ausstellung Le Mur, La Collection Antoine de Galbert übernahm ein Computerprogramm: Methodé Monte Carlo ( G = E (g(X)) = ∫ g (x) ƒx (x) dx). Der Katalog war ein Leporello (ISBN 978-2-84975-333-0).
 
"„Le Mur, La Collection Antoine de Galbert" (détail), La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
Markus Schinwald „Muffler“ (l.o.l.), David Lynch „Distorded Nude #24“ (l.o.r.), Fabien Verschaere „Sans titre“ (l.o.m.), Joel Peter Witkin „Self-portrait“(l.o.r.m.), Vidya Gastaldon „Cœur Flamoyant“ (l.m.u.), Pierre Yves Bohm „Tatoueur aéronaute“(r.), Alber Moser „Sans titre“ (m.u.), „Le Mur, La Collection Antoine de Galbert“ (détail), La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
Es ging auch um kultur-politische Aspekte. Beispielhaft sei hier die Ausstellung von Ceija Stojka erwähnt.
 
Ceija Stojka, "Ceija Stojka (1933-2013) Une Artiste rom dans le siècle", (détail), La Maison Rouge, Paris
Ceija Stojka, „Ceija Stojka (1933-2013) Une Artiste rom dans le siècle“, (détail), La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris

La Maison Rouge war nie für Antoine de Galbert der Ort, um die eigene Collection zu zeigen. Er lud andere ein wie etwa Harald Falckenberg.

 
Station - Collection Harald Falckenberg", La Maison Rouge, Paris
Harald Falckenberg, „Central Station – Collection Harald Falckenberg“, La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
 Mit Beendigung de Galbert’ La Maison Rouge setzte er sein Engagement im Sinne der Kunst fort mit der Fondation. 
Die Fondation ging mit der École du Louvre eine Partnerschaft ein. Neben der Entwicklung eines Postgradierten-Programms werden Stipendien vergeben. De Galbert’ Grosszügigkeit erfuhren auch die École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy und Ecole d’art de Guyane.
 
Antoine de Galbert, La Maison Rouge, Paris
Martin Parr „Common Sense“, Paul McCarthy „Pig“:  Les recherches d’un chien“, La Maison Rouge,  Antoine de Galbert, Paris
 
In publizistischer Hinsicht setzt die Fondation die bereits seit La Maison Rouge bestehende Kooperation mit JRP|Editions und Presses du réel fort. Für dieses und das nächste Jahr sind drei Publikationen geplant.
Darüberhinaus ist Antoine de Galbert auch anderweitig verlegerisch tätig. So erschienen zuletzt Bücher etwa zu Lucienne Peiry, Antoine d’Agata, Théo Mercier, La Possession du monde n’est pas ma priorité, Artistes syriens en exil, œuvres et récits, Unica Zürn, Hubert Duprat, Andrea Bellini et Sarah Lombardi, Wolfgang Stoerchle par Alice Dusapin, Mandelbaum, Collection Bruno Decharme et compagnie.
 
Gefördert wurden bisher auch Workhops zum Beispiel von Thibault de Gialluly, Reise- und Forschungsvorhaben von Charles Fréger, Stipendien bei Kunstschaffenden wie Nour Asalia oder eine Produktionsförderung des Films von Eric Baudelaire.
Antoine de Galbert bereicherte die Sammlung des Musée de Grenoble mit einer Schenkung aus der eigenen Collection.
 
Thomas Hirschhorn, "Spin Off" (détail), Fondation Antoine de Galbert, Paris
Thomas Hirschhorn, „Spin Off“ (détail), La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
Ferner unterstütze der Collectionneur in den beiden letzten Jahren Ausstellungen von Museen wie zu Beispiel Centre Dominique-Vivant Denon Musée du Louvre, Musée international des arts modestes, Musée d’art contemporain de Lyon, Musée national d’art moderne Centre Pompidou, Musée d’art et d’histoire de l’Hôpital Sainte-Anne, Association SHED Rouen, Musée d’art et d’histoire de Saint Denis.
 
In Zusammenhang mit der durch die Épidémie Covid-19 in Not geratenen Künstlerinnen und Künstler entwickelte die Fondation einen Fonds (fonds de solidarité an d’associations culturelles oder de collectifs d’artistes), von dem auch Kunststudentinnen und Kunststudenten profitierten.
 
Der Einsatz der Fondation Antoine de Galbert sucht seinesgleichen…. grossartig.
 
 

Antoine de Galbert – La Fondation et bien plus encore … : Le temps après La Maison Rouge

Antoine de Galbert
Antoine de Galbert

Beaucoup ont regretté la fermeture de La Maison Rouge. Et à juste titre. La maison de l’art (comprenant une librairie et un restaurant) a présenté des expositions inhabituelles – des événements à Paris.

Le directeur, Antoine de Galbert, ne craint pas le risque et ne manque pas de courage pour aborder les thèmes. L’intention conceptuelle et curatoriale des expositions poursuivait également une ambition artistique et intellectuelle. Le commissariat de l’exposition Le Mur, La Collection Antoine de Galbert  a été réalisé par un programme informatique : Methodé Monte Carlo ( G = E (g(X)) = ∫ g (x) ƒx (x) dx). Le catalogue était un fanfold (ISBN 978-2-84975-333-0).

"„Le Mur, La Collection Antoine de Galbert" (détail), La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
„„Le Mur, La Collection Antoine de Galbert“ (détail), La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris

Il y avait aussi des aspects politico-culturels. À titre d’exemple, l’exposition de Ceija Stojka a été mentionnée. La Maison Rouge n’a jamais été l’endroit où Antoine de Galbert a présenté sa propre collection. Il en a invité d’autres, comme Harald Falckenberg.

Ceija Stojka, "Ceija Stojka (1933-2013) Une Artiste rom dans le siècle", (détail), La Maison Rouge, Paris
Ceija Stojka, „Ceija Stojka (1933-2013) Une Artiste rom dans le siècle“, (détail), La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris

Avec la fin de La Maison Rouge de Galbert, il poursuit son engagement pour l’art avec la Fondation. 
La Fondation a conclu un partenariat avec l’École du Louvre. Outre le développement d’un programme de troisième cycle, des bourses sont accordées. La générosité de De Galbert s’est également étendue à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, à l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy et à l’École d’art de Guyane.

Du point de vue de l’édition, la Fondation poursuit la coopération avec JRP|Editions et Presses du réel qui existe déjà depuis La Maison Rouge. Trois publications sont prévues pour cette année et l’année prochaine.
Antoine de Galbert est également actif dans d’autres domaines de l’édition. Des livres sont parus récemment sur Lucienne Peiry, Antoine d’Agata, Théo Mercier, La Possession du monde n’est pas ma priorité, Artistes syriens en exil, œuvres et récits, Unica Zürn, Hubert Duprat, Andrea Bellini et Sarah Lombardi, Wolfgang Stoerchle par Alice Dusapin, Mandelbaum, Collection Bruno Decharme et compagnie.

Un soutien a été apporté à des ateliers de Thibault de Gialluly, par exemple, à des projets de voyages et de recherche de Charles Fréger, à des bourses avec des artistes tels que Nour Asalia, à un soutien à la production du film d’Eric Baudelaire.

Eric Pougeau, "Fils de pute", La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
Eric Pougeau, „Fils de pute“, La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
Antoine de Galbert enrichit la collection du musée de Grenoble avec une donation de sa propre collection. 
Au cours des deux dernières années, le Collectionneur a également soutenu des expositions dans des musées tels que le Centre Dominique-Vivant Denon, le Musée du Louvre, le Musée international des arts modestes, le Musée d’art contemporain de Lyon, le Musée national d’art moderne Centre Pompidou, le Musée d’art et d’histoire de l’Hôpital Sainte-Anne, l’Association SHED Rouen et le Musée d’art et d’histoire de Saint Denis.
 
En lien avec les artistes en difficulté suite à l’épidémie Covid-19, la Fondation a développé un fonds (fonds de solidarité et d’associations culturelles ou de collectifs d’artistes) dont ont également bénéficié les étudiants en art.
 
L’engagement de la Fondation Antoine de Galbert est sans égal…. grand.
 

Fondation Antoine de Galbert
52 rue de Charenton
75012 Paris, France
Téléphone 0033 1 43 41 44 13
info@fondationantoinedegalbert.org
https://fondationantoinedegalbert.org/fondation/

Collection Antoine de Galbert
info@collectionantoinedegalbert.org