
Die Bombardements der Israelischen Regierung etwa in Palästina – der Genozid an der Bevölkerung.



Gregor Schneider – Fondazione Morra Greco: Construire et tuer.

Le titre „Construire et tuer“ dans l’exposition organisée par Giulia Pollicita à Naples conduit à des associations d’événements passés ou actuels – même en dehors de l’art.
L’incendie catastrophique de la Grenfell Tower à Londres en est un exemple. Soixante-douze personnes y ont perdu la vie. http://menschmaus.eu/steve-mcqueen-grenfell-le-film/
Les bombardements du gouvernement israélien en Palestine – le génocide de la population.
Les tremblements de terre au Maroc ou en Turquie – les deux États ont abandonné à leur sort les personnes qui s’étaient retrouvées sans abri dans leur situation dramatique.
On se souvient particulièrement du travail artistique de Gregor Schneider Haus „Ur, sa contribution a été récompensée par le Lion d’or à la Biennale d’art de Venise et exposée dans le pavillon allemand (commissaire Udo Kittelmann).

L’exposition de Schneider à la Bundeskunsthalle Wand vor Wand, organisée par Susanne Kleine, portait entre autres sur Construire et tuer. http://menschmaus.eu/gregor-schneider-wand-vor-wand-bundeskunsthalle-jetzt/

Il n’est pas rare que Gregor Schneider soit accueilli avec incompréhension, voire avec méfiance. Ces personnes semblent être dépassées par l’art de Schneider. Le contenu touche au passé (et au présent), par exemple celui du Troisième Reich. De nombreux Allemands refusent qu’on leur rappelle ce sujet. Cela les rend suspects, ce qui favorise leur mécontentement et leur agressivité.
Il ne s’agit jamais d’une simple représentation. L’artiste revendique des événements sociaux en se référant en partie au passé et en n’oubliant pas le présent. Le facteur mémoriel aide à reconnaître, d’un point de vue social, que la confrontation avec sa propre personnalité est un événement quotidien et qu’il faut comprendre que l’art, en tant que témoignage des conditions, offre une chance de s’efforcer à une prise de conscience.
C’était le cas de Ende Gelände au musée Leopold Hoesch. Il s’agissait du pillage de la maison, de la ferme et des champs, de la destruction de la vie et de l’urbanité au profit de l’économie qui exerçait sa brutalité à proximité de Cologne – avec l’aide des organes de l’Etat et de ses agents. http://menschmaus.eu/gregor-schneider-fin-sur-le-terrain-ende-im-gelaende/
S’intéresser à l’art de Gregor Schneider, c’est se rassembler. Les comparaisons sont moins appropriées et pourraient servir de distraction ou favoriser la fuite des connaissances.
Cela ne serait pas possible à la Fondazione Morra Greco. Car c’est là que l’on peut retracer ses étapes artistiques. Une publication paraîtra.
Jan-Luc Godard dans Le livre d’images :….Nous ne sommes pas assez tristes pour faire du monde un endroit meilleur……
Gregor Schneider – Construire et tuer : Fondazione Morra Greco, du 19 décembre 2024 au 22 février 2025, vernissage le 19 décembre 2024, de 17h30 à 20h30, en présence de l’artiste et du commissaire de l’exposition.
Palazzo Caracciolo di Avellino
Largo Proprio di Avellino 17
80138 Napoli
https://www.leopoldhoeschmuseum.de/de
https://www.wako-art.jp/gregorschneider