Susan Meiselas – Premiere für Österreich (Kunst Haus Wien)

Susan Meiselas – Eine Retrospective
 
Susan Meiselas, Les Recontres de la Photographie d'Arles 2019
Susan Meiselas, Les Rencontres Internationales de la photographie d’Arles, Arles

Mit Susan Meiselas, zuletzt mit dem (erstmals vergebenen) Women in Motion pour la photographie der Kering Foundation dekoriert, zeigt das Kunst Haus Wien Photographien, die sich verantwortungsbewusst, mutig und konsequent relevanten die Menschheit berührenden Themen widmet – beeindruckend auch ihre Kompetenz und ihre Positionierung als feministische Künstlerin. Die Stationen ihres Lebens zeichnen den politischen Weg: Nicaragua, Kurdistan, Chile, England, USA …. Die Auseinandersetzung mit Macht und Verbrechen, Sexualität und Ausbeutung.
Meiselas’ Photographien sind Dokumente, die ergreifend sind aber auch motivieren, sich einzumischen in gesellschaftliche Verhältnisse.
 
Retrospektiv skizziert die von Verena Kaspar-Eisert kuratiere Exposition berufliche Etappen der wichtigen Photographin und Zeitzeugin. Meiselas Arbeitsweise verweist auf den in Vergessenheit geratenen Ursprung der Photographie, nämlich den der Dokumentarphotographie – die ehrliche Form der Bildgestaltung.
 
Die amerikanische Photographien hat auf differenzierte Art und Weise sich dem Feminismus gewidmet. Davon kann man sich jetzt in der Ausstellung Médiations iim Kunst Haus Wien ein Bild machen – ein Glücksfall für Österreich.
 

Sexualität – Menschenrechte ….

Susan Meiselas griff in der Vergangenheit relevante gesellschaftliche Themen auf. Ihre Studien im Bereich der Sexualität der Frau versus Macht- und gewaltorientiertem Männerverhalten Carnival Strippers, ihre Dokumentationen über Verbrechen gegen die Menschlichkeit am Beispiel ihres Aufenthalt in Nicaragua während der sandinistischen Revolution, die zum Sturz des von den Vereinigten Staaten geförderten Somoza-Clans durch die Frente Sandinista de Liberación Nacional (FSLN) führte, oder etwa in Chile während des ebenfalls von den USA unterstützen Diktators General Augusto Pinochet, ihre Schilderung von schicksalhaften Lebensverläufen in Crossings, die sozialen Verhältnisse in Cova da Moura, Frauenprojekte in den multiethnischen West Midlands….

Nicht nur Lateinamerika, auch Lebensumstände auf anderen Erdteilen fanden ihre Aufmerksamkeit wie etwa in Kurdistan, England …

Die aus den Projekten entstandenen Publikationen stellen ein Füllhorn von Öffentlichkeit dar.

Dass Susan Meiselas nun mit dem erstmaligen Women in Motion pour la photographie ausgezeichnet wurde, bedeutet die Ehrung für die Werke und unterstreicht zugleich die Wichtigkeit ihrer Themen. Somit ergreift Women in Motion sozial-politisch Partei. Wunderbar.
Diese beispielhafte Solidarität sollte daher nicht unterschätzt werden – könnte als doch Motivation für feministische Photographie gelten.

Kering Foundation

Die Kering Group, beziehungsweise Kering Foundation tritt seit vielen Jahren auf unterschiedliche Weise für die Verteidigung der Rechte und der Würde der Frauen ein.
Seit 2015 lobt Kering den Women in Motion Award aus. Entstanden aus einer Partnerschaft mit dem Festival de Cannes verfolgt Kering mit dieser Auszeichnung die Gleichstellung der Frau in der Filmkunst. Es geht um feminine künstlerische Ausdrucksformen.

Unmissverständlich wendet sich nun der Women in Motion auch an die Photographie, was die Präsenz bei Les Rencontres Photographie d’Arles deutlich machte. Erstmalig erfolgte die Würdigung einer Photographin und der Photographie – konsequent und perspektivistisch.

Photographie, das ist die Wahrheit. Und der Film ist die Wahrheit 24 mal in der Sekunde – Jean Luc Godard

 
Susan Meiselas : Médiations – Kunsthaus Wien bis 13. Februar 2021
 
Susan Meiselas : Première pour l’Autriche (Kunst Haus Wien) – Une rétrospective
 

Avec Susan Meiselas, tout récemment décorée du prix Women in Motion pour la photographie de la Fondation Kering (décerné pour la première fois), le Kunst Haus Wien présente des photographies qui se consacrent de manière responsable, courageuse et cohérente à des thèmes pertinents touchant à l’humanité – sa compétence et son positionnement en tant qu’artiste féministe sont également impressionnants. Les stations de sa vie retracent son parcours politique : Nicaragua, Kurdistan, Chili, Angleterre, Etats-Unis …. La confrontation avec le pouvoir et le crime, la sexualité et l’exploitation.
Les photographies de Meiselas sont des documents poignants, mais qui incitent également les gens à intervenir dans les conditions sociales.

L’exposition, dont le commissaire est Verena Kaspar-Eisert, esquisse une rétrospective des étapes professionnelles de l’important photographe et témoin contemporain. La méthode de travail de Meisela renvoie à l’origine oubliée de la photographie, à savoir celle de la photographie documentaire – la forme honnête de la composition de l’image.

La photographie américaine s’est consacrée au féminisme de manière différenciée. Vous pouvez maintenant vous en faire une idée dans l’exposition Médiations au Kunst Haus Wien – un coup de chance pour l’Autriche.

Sexualité – Droits de l’homme ….

Susan Meiselas a déjà abordé des questions sociales pertinentes par le passé. Ses études dans le domaine de la sexualité des femmes par rapport au comportement masculin orienté vers le pouvoir et la violence : Carnival Strippers, ses documentaires sur les crimes contre l’humanité en utilisant l’exemple de son séjour au Nicaragua pendant la révolution sandiniste, qui a conduit au renversement du clan Somoza soutenu par les États-Unis par le Frente Sandinista de Liberación Nacional (FSLN), ou, par exemple, au Chili sous la dictature du général Augusto Pinochet, qui était également soutenu par les États-Unis, sa description de parcours de vie funestes dans Crossings, les conditions sociales à Cova da Moura, les projets de femmes dans les West Midlands multiethniques … .
Elle s’intéresse non seulement à l’Amérique latine, mais aussi aux conditions de vie dans d’autres régions du monde, par exemple au Kurdistan, en Angleterre …

Les publications résultant des projets représentent une corne d’abondance de publicité.

Le fait que Susan Meiselas ait reçu le premier prix Women in Motion pour la photographie est un hommage à ces œuvres et souligne en même temps l’importance de leurs thèmes. Ainsi, Women in Motion prend une position socio-politique. Merveilleux.
Cette solidarité exemplaire ne doit pas être sous-estimée – elle pourrait être considérée comme une motivation pour la photographie féministe après tout.

Kering Foundation

Le groupe Kering, ou la Fondation Kering, s’engage depuis de nombreuses années à défendre les droits et la dignité des femmes de diverses manières.
Depuis 2015, Kering propose le prix Women in Motion. Né d’un partenariat avec le Festival de Cannes, Kering poursuit avec ce prix l’égalité des femmes dans le cinéma. Il s’agit de formes féminines d’expression artistique.

Il ne fait aucun doute que les femmes en mouvement s’intéressent désormais aussi à la photographie, comme l’a montré leur présence aux Rencontres photographiques d’Arles. Pour la première fois, on a pu apprécier une femme photographe et la photographie – de manière cohérente et perspectiviste.

La photographie, c’est la vérité. Et le film est la vérité 24 fois par seconde – Jean Luc Godard

 

Susan Meiselas : Médiations – Kunsthaus Wien jusqu’au 13 février 2021

 
 
Kunst Haus Wien
Untere Weißgerberstraße 13
1030 Wien
Telephon 0043 17 12 04 91
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Öffnungszeiten – Horaires
Täglich 10h – 18h

Quotidiennement 10h – 18h

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Jeu de Paume
 
Les Rencontres Internationales de la photographie d’Arles
 
Kering Foundation