Gideon Mendel
L’exposition de Gideon Mendel (commissaire Mark Sealy), qui faisait partie du programme officiel des Rencontres de la photographie d’Arles, s’intitulait Un monde qui se noie.
Il ne s’agissait pas de simples images de zones inondées. Il s’agissait de personnes frappées par des masses d’eau. Le plus étonnant, ce sont les photographies de Mendel. Les personnes touchées dans leur maison étaient massivement entourées d’eau. Il s’agissait de portraits.
Mendel, né à Johannesburg et psychologue de profession, est venu à la photographie avec la fin de l’apartheid dans les années 1980. Des thèmes de société comme le VIH/SIDA et l’écologie l’ont très tôt préoccupé.
S’il rend visite à des personnes lors d’inondations ou après d’autres catastrophes écologiques, ce n’est pas par goût du sensationnalisme, de l’esbroufe ou d’un opportunisme souvent lié à des intérêts économiques.
Les photos de Gideon Mendel montrent sans fard la situation précaire des autochtones. L’horreur et la consternation sincère ressenties à la vue des objets exposés ne peuvent être supportées qu’avec empathie. Dans les portraits, Mendel fait comprendre ce qui s’est passé, sans demander de la pitié, mais de la compassion.
Les propriétaires terriens qui, après une catastrophe, se sont rendus dans leurs maisons complètement détruites, ne semblaient pas être remplis de désespoir comme les gens dans les inondations : Des lueurs d’espoir.
Les œuvres d’art de Gideon Mendel émeuvent – contrairement aux personnages petits-bourgeois qui ne respectent pas la paix des ménages, attaquent les œuvres d’art dans les musées avec de la nourriture, gênent les ambulances (et les travailleurs) par leurs collages inhérents au système sur les voies de circulation.
Dans le Soho Photography Quarter, on peut voir des œuvres de Gideon Mendel issues de deux séries : Drowning World et Burning World.
Gideon Mendel : Fire / Flood – Soho Photography Quarter (The Photographers Gallery), jusqu’au 30 septembre 2023
Es handelte sich nicht um blosse Abbildung von überschwemmten Gebieten. Es ging um Menschen, die von Wassermassen heimgesucht wurden. Erstaunlich sind und waren Mendel’ Photographien. Die Betroffenen in ihren Häusern waren massiv von Wasser umschlossen. Es waren Portraits.
Mendel, gebürtig in Johannesburg, studierter Psychologe, kam mit dem Ende der Apartheid zur Photographie in den Jahren um 1980. Gesellschaftliche Themen wie HIV/AIDS und Ökologie beschäftigten ihn schon sehr früh.
Dass er etwa in der Hochwaserkatastrophe oder nach anderen Umweltkatastrophen Menschen besucht, entspringt nicht etwa einer Sensationslust, Effekthascherei oder dem häufig anzutreffendem Opportunismus gepaart mit ökonomischen Interessen.
Mendel bringt nahe, was in den Portraitierten vorging ohne Mitleid einzufordern, aber Mitgefühl.
Grundbesitzer, die nach Katastrophen ihre völlig zerstörten Häuser aufsuchten, schienen nicht von einer Hoffnungslosigkeit erfüllt zu sein, ähnlich die im Hochwasser: Schimmer von Hoffnung
Die Kunstwerke von Gideon Mendel bewegen – im Gegensatz zu den kleinbürgerlichen Figuren, die unter Missachtung des Hausfriedens in Museen mit Lebensmittel Kunstwerke attackieren, Rettungswagen (und Werktätige) behindern durch ihre systemimmanenten Klebereien auf Fahrbahnen.
Das Soho Photography Quarter zeigt von Gideon Mendel Arbeiten aus zwei Serien Drowning World and Burning World.
Gideon Mendel: Fire / Flood – Soho Photography Quarter (The Photographers Gallery), bis 30. September 2023
Gideon Mendel
https://gideonmendel.com/
Soho Photography Quarter (SPQ)
16-18 Ramillies Street
London W1F7LW
https://thephotographersgallery.org.uk/whats-on/gideon-mendel-fire-flood
Lundi au mercredi 10h – 18h
Montag bis Mittwoch 10h – 18h
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Donnerstag und Freitag 10h – 20h
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