Vera Mercer

Mit Vera Mercer beendet die Leica Galerie in Salzburg ihr Programm THROUGH HER LENS – All Eyes on Women Photographers.
Ausgestellt wurden ausschliesslich Photographinnen wie Ana María Arévalo Gosen, Laetitia Vançon, Nanna Heitmann, Rania Matar, Herlinde Koelbl, Donata Wenders, Alessa Grande, Ulrike Spraiter und jetzt Vera Mercer.
Das Engagement der Galerie ist vorbildhaft. Es bleibt zu hoffen, dass auch in Zukunft der Blick auf die feminine Photographie erhalten bleibt – und nicht durch modernen dem Zeitgeschmack dienenden und dem Opportunismus hörigen Einfluss des Genderismus in den Hintergrund gerät. Letztlich sucht die heranwanzende Zeiterscheinung nur eine Marktnische.
Ähnliche Erscheinungen etwa cancel culture oder auch die linguistisch-orthographisch-gramatikalischen Verirrungen befinden sich bereits auf dem Rückzug, gelten bald als obsolet.
In der Verhunzung der Sprache ….. innen oder in der Schriftform …. :innen lässt sich kein – immer noch einzuforderndes – feministisches Engagement erkennen – ganz im Gegenteil. Von einer gleichberechtigten Präsenz war und kann keine Rede sein.
Nach wie vor gibt man dem maskulinen Part in der Kunst der Photographie den Vortritt. Der wiederum schmückt sich mit Begriffen wie Autorenphotographie oder humanistische Photographie – Bezeichnungen, die nicht selten von sich aufspielenden männlichen Knispern mit aufgeblasenen Biographien in Anspruch genommen werden.
Gerade im Genre Photographie tummeln sich so viele dieser Figuren, die auffallend mit solchen Beschreibungen hantieren und dabei ihre Ahnungslosigkeit offenbaren. Allein die Bezeichnung humanistische Photographie ist absoluter Unfug. Und unter Autorenphotographie verbirgt sich eine Signifikanz, die nur auf wenige der lichtbildenden Zunft zutrifft. Auffallend und wohltuend sind da die raren Ausnahmen – von bekannten und weniger bekannten Photographen.
Dennoch: Photographinnen sind die besseren (maskuline Ausnahmen bestätigen dies). Sie sind authentischer, empathischer, politischer, emotionaler, mutiger, ehrlicher, solidarischer, kritischer, kohärenter, kreativer, bescheidener, innovativer….
Vera Mercer lädt mit ihren Arrangements zu opulenten visuellen Festivitäten ein. Mit ihren Stilleben, meist mit ausgesuchten Farben, taucht sie in die Welten von Pflanzen und Tieren ein. Ihre Nähe zur Natur ist nicht verwunderlich, galt doch ihr jugendlicher Berufswunsch der Gärtnerei.
Aber nicht nur mit Stilleben drückt Mercer ihre Kunst aus, auch Portraits gehören dazu. Bilder für die Bühne des Lebens.
Das bilinguale Buch mit Texten von Sergio Fabio Beradini (ISBN 978-3-096912-049-1) wurde von Mathias Harder herausgegeben, wie auch Partular Portraits (978-3-95476-067-1) und Photographs and Still Lifes (ISBN 978-3-86828-111-8).
Vera Mercer – Kunst der Stille: Porträts und Stillleben: Leica Galerie Salzburg, bis 9. Februar 2025
Vera Mercer – Leica Galerie Salzbourg
Avec Vera Mercer, la galerie Leica de Salzbourg termine son programme THROUGH HER LENS – All Eyes on Women Photographers.
Seules des femmes photographes comme Ana María Arévalo Gosen, Laetitia Vançon, Nanna Heitmann, Rania Matar, Herlinde Koelbl, Donata Wenders, Alessa Grande, Ulrike Spraiter et maintenant Vera Mercer ont été exposées.
L’engagement de la galerie est exemplaire. Il reste à espérer qu’à l’avenir, le regard porté sur la photographie féminine sera préservé – et ne sera pas relégué au second plan par l’influence moderne du genderisme, qui sert le goût du jour et l’opportunisme. En fin de compte, ce phénomène contemporain ne cherche qu’une niche de marché.
Des phénomènes similaires, comme la cancel culture ou les aberrations linguistiques, orthographiques et grammaticales, sont déjà en recul et seront bientôt considérés comme obsolètes.
Dans la déformation de la langue …..innen ou dans la forme écrite ….: innen, on ne peut pas reconnaître un engagement féministe – qu’il faut toujours revendiquer – bien au contraire. Il n’a jamais été question d’une présence égalitaire et il n’en est toujours pas question.
On continue à donner la priorité à la partie masculine de l’art de la photographie. Celle-ci se pare à son tour de termes tels que photographie d’auteur ou photographie humaniste – des désignations qui sont souvent revendiquées par des crépitements masculins aux biographies pompeuses.
C’est justement dans le genre de la photographie que s’ébattent tant de ces personnages, qui manient de manière frappante de telles descriptions et révèlent ainsi leur ignorance. Le terme même de photographie humaniste est une absurdité absolue. Et sous le terme de photographie d’auteur se cache une signification qui ne s’applique qu’à quelques-uns de la corporation des créateurs de lumière. Les rares exceptions – de photographes connus et moins connus – sont frappantes et bienfaisantes.
Pourtant, les femmes photographes sont les meilleures (les exceptions masculines le confirment). Elles sont plus authentiques, plus empathiques, plus politiques, plus émotionnelles, plus courageuses, plus honnêtes, plus solidaires, plus critiques, plus cohérentes, plus créatives, plus modestes, plus innovantes….
Avec ses arrangements, Vera Mercer invite à d’opulentes festivités visuelles. Avec ses natures mortes, généralement réalisées avec des couleurs choisies, elle nous plonge dans les mondes des plantes et des animaux. Sa proximité avec la nature n’est pas surprenante, puisque son souhait professionnel de jeunesse était de devenir horticultrice.
Mais Mercer n’exprime pas seulement son art avec des natures mortes, mais aussi avec des portraits. Des images pour la scène de la vie.
L’artiste, qui s’inspire parfois aussi de la peinture, met en scène ses photographies avec des emprunts à la nature : les fruits de l’arbre et de la mer sont mis à l’honneur dans ses photographies.
Des livres comme New Works témoignent de l’engagement de la styliste – Inject et Platinum Prints.
Le livre bilingue avec des textes de Sergio Fabio Beradini (ISBN 978-3-096912-049-1) a été édité par Mathias Harder, tout comme Partular Portraits (978-3-95476-067-1) et Photographs and Still Lifes (ISBN 978-3-86828-111-8).
Vera Mercer – Kunst der Stille: Porträts und Stillleben: Leica Galerie Salzburg, jusqu’au 9 février 2025
https://www.veramercer.com/
Leica Galerie
Gaisbergstrasse 12
5020 Salzburg
Telephon 0043 662 87 52 54
Telefax 0043 662 87 52 54
salzburg@leica-galerie.com
https://www.leica-galerie-salzburg.com/event/kunst-der-stille-portraets-und-stillleben/
Öffnungszeiten – Horaires
Dienstag bis Freitag 14h – 18h
Mardi au vendredi 14h – 18h
Samstag: 10h – 14h
Samedi 10h – 14h
Galerie
Clair Gallery
https://clairbykahn.com/mies_portfolio/mercer/
Galerie Jordanow
https://www.artsy.net/artist/vera-mercer-1
Sherry Leedy Contemporary Art
https://sherryleedy.com/main/vera-mercer-1/
Werkhallen
https://www.werkhallen.net/