
Die Themen, denen er sich widmet, gehen über die blosse photojournalistische Berichterstattung weit hinaus.
Sein Engagement gilt Kinderarmut, AIDS-Waisen, ehemaligen afrikanischen Kindersoldaten. Von der Organisation Encore.org wurde er mit dem Purpose Prize Fellow ausgezeichnet. Und auch sein Auftritt im Senat der Vereinigten Staaten von Amerika bleibt unvergessen.
Der Rolle der Frauen in der Black Panther Party setzte sich Shames intensiv auseinander. Das wurde in der von François Cheval und Yasmine Chemali kuratierten Ausstellung Comrade Sisters / les Panthères noires 2024 im Centre de la photographie de Mougins gezeigt.
Während bekannte Grössen wie etwa Bobby Seale, Huey P. Newton und weitere offensichtlich tonangebend schienen, übersah man Inspirationen, die nämlich von den Frauen kamen; sie stellten in der Black Panther Party den Grossteil der Mitglieder. Sie fanden, den sozio-politischen Verhältnissen geschuldet, zumindest in der Öffentlichkeit nicht die Würdigung.
Dass das 1972 von Shames geplante Buch mit Texten von Huey P. Newton und Bobby Seale von Präsident Richard Nixon verhindert wurde, indem er seinen Vertreter Spiro Agnew anwies, den Verlag unter Druck zu setzen, damit dieses nicht erscheint, war typisch für den politischen Zustand der USA. Erst 34 Jahre später erfolgte dann Stephen Shames’s Chronologie über Blak Panther Party – The Black Panthers bei Aperture Foundation.
Stephen Shames – de la vie: Nouvelle publication

Stephen Shames chronologise les évolutions sociales. Il s’intéresse aux personnes dans leur situation respective. Ses photographies montrent que Shames ne leur manque jamais de respect et que l’empathie joue un rôle important.
Les photos reflètent également les compétences sociales de l’artiste.
En tant que photographe blanc, Stephen Shames a bénéficié de la confiance du Black Panther Party. Cela lui a permis de participer à la vie du Black Panther Party.
Les thèmes auxquels il se consacre vont bien au-delà d’un simple reportage photojournalistique.
Son engagement concerne la pauvreté des enfants, les orphelins du SIDA et les anciens enfants-soldats africains. L’organisation Encore.org lui a décerné le Purpose Prize Fellow. Son discours devant le Sénat des États-Unis d’Amérique est également resté dans les mémoires.
Shames s’est intéressé de près au rôle des femmes dans le Black Panther Party. Cela a été montré dans l’exposition Comrade Sisters / les Panthères noires 2024 au Centre de la photographie de Mougins, sous le commissariat de François Cheval et Yasmine Chemali.
Alors que Bobby Seale, Huey P. Newton et d’autres semblaient donner le ton, l’inspiration émanant des femmes, qui constituaient la majorité des membres du Black Panther Party, est passée au second plan.
En raison de la situation sociopolitique, elles n’ont pas reçu la reconnaissance qu’elles méritaient, du moins en public.
Typique de l’état politique des Etats-Unis : le livre prévu par Shames pour 1972, contenant des textes de Huey P. Newton et Bobby Seale, a été empêché par le président Richard Nixon, qui a ordonné à son représentant Spiro Agnew de faire pression sur la maison d’édition pour que le livre ne paraisse pas. Ce n’est que 34 ans plus tard que la chronologie du Blak Panther Party – The Black Panthers de Stephen Shames a été publiée par l’Aperture Foundation.
Le nouveau livre récemment paru chez Kehrer Stephen Shames – a lifetime in photography – avec des textes de Jeffrey Henson Scales et Stephen Shames – décrit la proximité entre la joie et la souffrance. Les illustrations sont des expressions personnelles de sa vie qui suscitent la consternation. Elles sont dévastatrices, mais aussi porteuses d’espoir. Elles racontent des moments vécus à New York, Salvador, Bucarest, Rio de Janeiro, Honolulu, Oakland, Belfast, Chicago, Cambridge, Gulu, Beyrouth et Dhaka. Il n’est pas rare de supposer que les situations représentées proviennent d’un passé proche – ou qu’elles ont été épargnées par les évolutions de la société. Les photographies de Shames sont et restent donc actuelles.
Le langage visuel de Stephen Shames est authentique.
La liste des collections de musées tels que le Museum of Modern Art (MoMA), le Metropolitan Museum, la Smithsonian National Portrait Gallery, le George Eastman Museum, l’International Center of Photography, le Smithsonian National Museum of African American History and Culture, le San Francisco Museum of Modern Art, The New York Public Library, The Bancroft Library, l’University of California, The Corcoran Gallery of Art, The Museum of Photographic Arts San Diego, The Museum of Fine Arts Houston, Philadelphia Museum …. montre l’intérêt que portent les musées aux photographies de Stephen Shames.
Stephen Shames – a lifetime in photography : Kehrer Verlag, ISBN 978-3-96900-172-1
https://centrephotographiemougins.com/exposition/comrade-sisters-les-pantheres-noires/
Galerie
Galerie Esther Woerdehoff
https://ewgalerie.com/artistes/stephen-shames/