Gideon Mendel – Empathie und Hoffnung
2017 gehörten Gideon Mendel’ Photographien zum offiziellen Programm von Les Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles.
Un monde qui se noie, so der Titel seiner Ausstellung (Kurator Mark Sealy) bildete Menschen ab, die von Hochwasser heimgesucht wurden.
Dass er etwa in der Hochwasserkatastrophe oder nach anderen Umweltgeschehen Menschen besucht, entspringt nicht etwa einer Sensationslust, Effekthascherei oder dem häufig anzutreffendem Opportunismus gepaart mit ökonomischen Interessen.
Mendel, geboren in Johannesburg und studierter Psychologe, kam mit dem Ende der Apartheid zur Photographie in den Jahren um 1980. Gesellschaftliche Themen wie HIV/SIDA und Ökologie beschäftigten ihn schon sehr früh. Das belegte auch Un monde qui se noie .
Gideon Mendel’ Lichtbilder zeigen ungeschönt die prekäre Lage der Einheimischen. Das bei Anblick der Exponate empfundene Entsetzen und die ehrliche Betroffenheit lassen sich nur mit Empathie aushalten.
Mendel bringt nahe, was in den Portraitierten vorging ohne Mitleid einzufordern, aber Mitgefühl.
Im vorigen Jahr wurden im Londoner Soho Photography Quarter (SPQ) Mendel‘ Arbeiten aus zwei Serien Drowning World und Burning World ausgestellt – und et Fire / Flood : The Photographers Gallery
Die Kunstwerke von Gideon Mendel bewegen – im Gegensatz zu den kleinbürgerlichen Figuren, die unter Missachtung des Hausfriedens in Museen mit Lebensmittel Kunstwerke attackieren.
Das Kunstmagazin Art stellt in der aktuellen Ausgabe Gideon Mendel vor (Text Claudia Bodin).
Gideon Mendel – Art das Kunstmagazin (août 2024): Empathie et espoir
En 2017, les photographies de Gideon Mendel faisaient partie du programme officiel des Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles.
Un monde qui se noie, tel était le titre de son exposition (commissaire Mark Sealy), montrait des personnes touchées par des inondations.
Le fait qu’il ait rendu visite à des personnes lors d’inondations catastrophiques ou après d’autres catastrophes environnementales n’était pas le résultat d’un désir de sensationnalisme, de vantardise ou d’un opportunisme souvent lié à des intérêts économiques.
Mendel, né à Johannesbourg et psychologue de formation, s’est tourné vers la photographie vers 1980, après la fin de l’apartheid, et s’est intéressé très tôt à des questions de société comme le VIH/SIDA et l’écologie. Un monde qui se noie en est la preuve.
Les photos de Gideon Mendel montrent sans fard la situation précaire des autochtones. Seule l’empathie permet de supporter l’horreur et la consternation sincère que l’on ressent à la vue des pièces exposées.
Dans ses portraits, Mendel fait comprendre ce qui s’est passé, sans demander de la pitié, mais de la compassion.
L’année dernière, les œuvres de Mendel issues de deux séries, Drowning World et Burning World, ont été exposées au Soho Photography Quarter (SPQ) à Londres – et Fire / Flood : The Photographers Gallery.
Les œuvres d’art de Gideon Mendel émeuvent – contrairement aux personnages petits-bourgeois qui, au mépris de la paix des ménages, s’attaquent aux œuvres d’art dans les musées avec de la nourriture.
Dans son dernier numéro, le magazine d’art Art présente Gideon Mendel (texte Claudia Bodin).
Gideon Mendel
https://gideonmendel.com/
Art das Kunstmagazin
https://www.bic-media.com/mobile/mobileWidget-jqm1.4.html?https=yes&noNavi=yes&noMobilePreCover=yes&flipBook=yes&iconType=dpv&bgcolor=ffffff&isbn=00001084_08_2024
Soho Photography Quarter (SPQ)
https://thephotographersgallery.org.uk/whats-on/gideon-mendel-fire-flood
https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/156/gideon-mendel