Constantin Brâncuși – Le Baiser findet keine Ruhe

Constantin Brâncuși – Cimetière Montparnasse in Paris

Constantin Brâncuși, "Le Baiser" (détail), Cimetriè Montparnasse, Paris
Constantin Brâncuși, „Le Baiser“ (détail), Cimetière Montparnasse, Paris

Es geht um die Skulptur von Constantin Brâncuși – Le Baiser Sie ehrt das Grab von Tatjana Rachewskaja auf dem Friedhof Montparnasse.
 
Über das Kunstwerk war ein Rechtsstreit entbrannt. Die Erben der Grabstätte wollten Le Baiser von der Ruhestätte ihrer Verstorbenen demontieren und verkaufen. Abgesehen hatte sie es auf die Skulptur, nicht auf die Stele. Und sie gingen bei dem Verkauf auf dem Kunstmarkt von einem beträchtlichen Erlös aus. 
 
Seinerzeit wurde Brâncuși’ Arbeit in Anerkennung dessen Bedeutung als Künstler von dem Staat unter Denkmalschutz gestellt. Für den Pariser Präfekten bildeten Skulptur mit Sockel eine Einheit und sah darin in künstlerischer und historischer Hinsicht ein öffentliches Interesse. Und es bestand Anlass zur Sorge, dass im Falle einer Demontage die Skulptur Schaden nehmen könnte. Dies sah das Verwaltungsgericht auch. Die Angehörigen hatten gegen den Bescheid der Commune vor dem Verwaltungsgericht geklagt.
 
Nun wähnen sie sich in zweitem Anlauf, einer erneuten Klage,  das Ziel erreicht haben. Ebenfalls das Verwaltungsgericht in Paris entschied nun zugunsten der Erben. Relativ. Es zweifelt die Rechtmässigkeit der Entscheidung des Präfekten an.
Der Trauergemeine ging es ausschliesslich um die Skulptur und nicht den Sockel. Und Le Baiser wäre erst später auf dem Grab aufgestellt worden. Der Sockel stamme von einem Steinmetz, der auch Constantin Brâncușis‘ Namenszug dort anbrachte. Das ist offensichtlich zweierlei.
 
Constantin Brâncuși. "Le Baiser" (détail), Cimetriè Montparnasse, Paris
…. au pied de la  sculpture de Constantin Brâncuși, „Le Baiser“ (détail), Cimetière  Montparnasse, Paris
 
Das Gericht entschied zunächst zugunsten der Kläger, indem ihnen seitens des Staates die Prozesskosten zu erstatten wären und forderte von dem Präfekten die fristgemässe Überprüfung hinsichtlich einer machbaren Trennung der Skulptur von der Stehle.
 
Ob damit das Verfahren beendet ist? 
 

Aber allein das Ansinnen der Begünstigten, ihre Beziehung zu der Verstorben und deren Ruhestätte sagen ganz viel aus – auch über das Verhältnis zu Constantin Brâncuși und seinem Le Baiser.

Constantin Brâncuși, "Le Baiser" (détail), Cimetriè Montparnasse, Paris
Constantin Brâncuși, „Le Baiser“ (détail), Cimetière  Montparnasse, Paris
 
Constantin Brâncuși Le Baiser : Ne trouve pas de repos – Cimetière Montparnasse à Paris
 
Il s’agit de la sculpture de Constantin Brâncuși  Le Baiser, elle honore la tombe de Tatjana Rachewskaja au cimetière Montparnasse.
 
Un litige est apparu au sujet de l’œuvre d’art. Les héritiers de la tombe voulaient démanteler Le Baiser de la tombe de leur défunt et le vendre. Ils cherchaient la sculpture, pas la stèle. Et vous espériez faire un profit considérable en le vendant sur le marché de l’art. 
 
À l’époque, le travail de Brâncuși a été répertorié par l’État en reconnaissance de son importance en tant qu’artiste. Pour le préfet de Paris, la sculpture et son piédestal formaient une unité et il y voyait un intérêt public d’un point de vue artistique et historique. Et l’on craignait qu’en cas de démantèlement, la sculpture ne soit endommagée. Le tribunal administratif l’a également constaté. Les propriétaires avaient introduit un recours contre la décision de la commune devant le tribunal administratif.
 
Ils pensent maintenant avoir atteint leur objectif lors d’une deuxième tentative, un nouveau procès. Le tribunal administratif de Paris s’est également prononcé en faveur des héritiers. Relativement. Elle a mis en doute la légalité de la décision du préfet.
Les pleureurs ne s’intéressaient qu’à la sculpture, pas au piédestal. Et Le Baiser n’aurait été placé sur la tombe que plus tard. Le piédestal provient d’un tailleur de pierre qui y a également mis le nom de Constantin Brâncușis‘. Il s’agit évidemment de deux choses différentes.
 
Le tribunal a donné raison aux plaignants en ce sens que l’État devrait leur rembourser les frais de justice et a exigé que le préfet examine la possibilité de séparer la sculpture du socle en temps utile.
 
Cela signifie-t-il la fin de la procédure ? 
 
Mais la demande des seuls bénéficiaires, leur relation avec la défunte et son lieu de repos en disent long – également sur la relation avec Constantin Brâncuși et son Le Baiser.