Mémorial de la traite des esclaves – Jardin des Tuileries

Probablement que les réactions mondiales à la mort de George Floyd par le policier américain ont donné l’impulsion de se souvenir enfin à travers un monument, une œuvre d’art, dans un lieu digne des victimes de l’esclavage, expression du racisme et des crimes contre l’humanité.

 

Tous les états sont concernés par cette situation, tant sur le plan historique que dans la réalité. 

 

Le Jardin des Tuileries a été choisi comme site pour cette œuvre d’art. Il n’y a pas d’objection à cela, le jardin polyvalent du Louvre est visité par de nombreuses personnes. Les sculptures raviront le public en permanence. Pendant la Foire internationale d’art contemporain (Hors les murs), les Tuileries sont transformées en une exposition temporaire de sculpture contemporaine.

Le Jardin des Tuileries est situé au centre. Le Louvre, interrompu par deux rues (PLace du Carrousel, Avenue du Général Lemonnier)) menant à la Seine, en constitue le point de départ. Et sa fin est encadrée par la Galerie nationale du Jeu de Paume et le Musée de l’Orangerie.

La chance que de nombreuses personnes visitent le site commémoratif maintient vivante la mémoire des crimes, de l’esclavage, du racisme du crime contre l’humanité, et en outre, elle rappelle la dignité de l’homme et son égalité. 

La manifestation actuelle, en partie militante, est une réponse à la politique dominante et une conséquence logique : lorsque le droit devient injuste, il y a un devoir de résister, si nécessaire de façon radicale et militante.

Dans un comminiqué conjoint d’Annick Girardin, (la ministre des Outre-mer) et Franck Riester (le ministre de la Culture), l’art est désormais appelé à participer à l’appel à projets (jusqu’au 1er septembre 2020) pour le monument:  https://www.marches-publics.gouv.fr/?page=entreprise.EntrepriseAdvancedSearch&AllCons&refConsultation=589121&orgAcronyme=f5j

Vermutlich gaben die weltweiten Reaktionen auf den Tod von George Floyd durch den amerikanischen Polizisten Auftrieb, endlich durch ein Denkmal – ein Kunstwerk – an einem würdigen Ort sich der Opfer der Sklaverei, Aus-druck des Rassismus und der Verbrechen gegen die Menschlichkeit zu erinnern.

Davon sind wohl alle Staaten betroffen, historisch wie auch real. 

Als Ort für dieses Kunstwerk wurde der Jardin des  Tuileries beschlossen. Dagegen ist nichts einzuwenden, wird der vielseitige Garten des Louvre von vielen Menschen besucht. Dauerhaft beglücken die Grünanlage Skulpturen.

Während der Foire internationale d’art contemporaire (Hors les murs) verwandeln sich die Tuilerien zu einer temporären contemporairen Skulpturenausstellung.

Jardin des Tuileries liegt zentral. Den Anfang bildet, unterbrochen von zwei zur Seine führenden Strassen (PLace du Carrousel, Avenue du Général Lemonnier), der Louvre. Und seine Ende wird umrahmt von der Galerie nationale du Jeu de Paume und dem Musée de l’Orangerie.

Die Chance, dass viele Menschen den Gedenkort besuchen, hält die Erinnerung an die Sklaverei, den Rassismus und die Verbrechens an der Menschlichkeit wach und mahnt darüberhinaus die Würde des Menschen und seine Gleichheit an.

Die derzeitigen und zum Teil militanten Demonstration sind Antwort auf die herrschende Politik und logische Konsequenz: Wenn Recht zu Unrecht wird, besteht die Pflicht zum Widerstand, notfalls radikal wie militant.

In einem gemeinsamen Comminiqué von Annick Girardin (la ministre des Outre-mer) und Franck Riester (le ministre de la Culture) ist nun die Kunst zur Beteiligung an der Ausschreibung  (bis 1.Sempember 2020) für das Denkmal, aufgerufen:  https://www.marches-publics.gouv.fr/?page=entreprise.EntrepriseAdvancedSearch&AllCons&refConsultation=589121&orgAcronyme=f5j