Die Pariser Commune, die Kunst und das Massaker ….

Pariser Commune – Das Blutbad der Bourgeoisie  

Commune de Paris, Cimetière Père Lachaise, Paris
Commune de Paris,“Le mur des Fédérés“ au  cimetière de Père-Lachaise, Paris

In den Tagen des Kampfes ….
 
Das Massaker gegen die Mitglieder der Commune de Paris wurde vor 150 Jahren begangen. Der Aufstand des Volkes 1871 wähnte nur kurz. Er war lehrreich  – und historisch von immenser Bedeutung.
 
Pariser Commune – und die Künstler
 
Viele Künstlerinnen und Künstler flohen aus der Stadt. Aber einige wie Hippolyte Blancard, Bruno Braquehais, Étienne Carjat, Gustave Courbet, Edgar Degas, Jules Dalou, Eugène Disdéri, Eugène Fabius, Amand Gautier, André Gill, Auguste Lançon, Édouard Manet, Paul Millet, Hyppolyte Moulin, Édouard Moulinet, Nadar (Félix Tornachon), Georges Raoul Eugène Pilotelle,  Auguste Renoir, Alfred Roll, James Tissot, Daniel Vierge blieben.
Ihre Mitwirkung fiel unterschiedlich aus. Es entstanden Werke. Anderseits engagierte sich auch einige etwa in der medizinischen Versorgung  von Verletzten. Sowohl Sympathien als auch Zurückhaltung, gar Unsicherheit in der Frage der eigenen Positionierung begleiteten die Artisten in dieser Zeit.
 
Am 13. April 1871 wurde die Féderation des Artistes de Paris gegründet. Ihr Manifest bezog alle Genres der Kunst ein wie Architektur, Bildhauerei, industrielle Kunst, Literatur, Lithographie und Malerei. Der Federation ging es auch um den Schutz der Museen.
 
21. bis 28. Mai 1871
 
Es begann auf dem Place de Hôtel de Ville und endete an Le mur des Fédérés -Père-Lachaise. Dort wurden die letzten Communardinnen und Communarden fusiliert. Die herrschende Clique richteten ein Blutbad an. 147 Mitglieder der Commune de Paris fanden dort den Tod ….
 
Die Zukunft – was wird werden ?
 
Auch wenn es über mehr als ein Jahrhundert zurückliegt, sollte das Engagement der Commune de Paris noch heute Würdigung finden und ihre Niederlage nicht als Misserfolg betrachtet werden – vielmehr Mut machen und inspirieren.
 

Wissen wir denn, ob das, was uns heute utopisch erscheint, in der nächsten, übernächsten Epoche nicht schon Realität sein kann? Im Sturm der Revolution schaut man nach vorn: Louise Michel

 
 
La Commune de Paris, l’art et le massacre: Le bain de sang de la bourgeoisie  ….
 
Dans les jours de lutte ….
 
Le massacre des membres de la Commune de Paris a été commis il y a 150 ans. Le soulèvement du peuple en 1871 n’a duré que peu de temps. C’était instructif – et historiquement d’une immense importance.
 
La Commune de Paris – et les artistes
 
De nombreux artistes ont fui la ville. Mais certains comme Hippolyte Blancard, Bruno Braquehais, Étienne Carjat, Gustave Courbet, Edgar Degas, Jules Dalou, Eugène Disdéri, Eugène Fabius, Amand Gautier, André Gill, Auguste Lançon, Édouard Manet, Paul Millet, Hyppolyte Moulin, Édouard Moulinet, Nadar (Félix Tornachon), Georges Raoul Eugène Pilotelle, Auguste Renoir, Alfred Roll, James Tissot, Daniel Vierge sont restés.
Leur participation a été variée. Des œuvres ont été créées. D’autre part, certains se sont également impliqués, par exemple, dans les soins médicaux aux blessés.
La sympathie et la réticence, voire l’incertitude quant à leur propre positionnement, accompagnent les artistes pendant cette période.
 
Le 13 avril 1871, la Fédération des Artistes de Paris sont fondées. Leur manifeste incluait tous les genres d’art tels que l’architecture, la sculpture, l’art industriel, la littérature, la lithographie et la peinture. La Fédération s’est également préoccupée de la protection des musées.
 
21 – 28 mai 1871
 
Elle commence sur la place de l’Hôtel de Ville et se termine au Le mur des Fédérés au Père-Lachaise. C’est là que les derniers communards ont été fusillés. La clique au pouvoir a fait des ravages. 147 membres de la Commune de Paris y ont trouvé la mort ….
 
L’avenir – que sera-t-il ?
 
Même si cela remonte à plus d’un siècle, l’engagement de la Commune doit encore être apprécié aujourd’hui et sa défaite ne doit pas être considérée comme un échec, mais plutôt comme un encouragement et une inspiration. 
 
Savons-nous si ce qui nous semble utopique aujourd’hui ne sera pas déjà une réalité à l’époque suivante ou à celle d’après ? Dans la tempête de la révolution, on regarde en avant : Louise Michel.