Jacques Pugin – Photographien und Landschaften: Tracehumance – Cheminement
Jacques Pugin, weitgereister Photograph, interessiert mehr als nur das Bild als solches. Fasziniert von der Natur in den unterschiedlichsten Weltregionen suchte er zum Beispiel, Indien, Lateinamerika, Wüstenländer auf, Berglandschaften ebenso wie unendliche Niederungen.
Die Technik, die Jacques Pugin etwa mit dem Stift verbindet, findet sich in der Lichtmalerei wieder. In seinen Abbildung von Gebirge etwa dokumentiert er mit seiner Arbeitsweise Verhältnisse und Situation, wobei unwillkürlich Wissen ob der Umwelteinflüsse oder Gedanken an die Naturzerstörung eine Zwangsläufigkeit finden. Seine Lichtbilder werden zu Gemälden.
Momentan stellt das Musée gruérien Jacques Pugin aus. Die Exposition Tracehumance – Cheminement entstand in Kooperation mit der Pariser Galerie Esther Woerdehoff und kuratiert von Audrey Horeau, reflektiert umfangreich das Œuvre von Jacques Pugin.
Das Buch führt ein in die Arbeitsweisen von Jacques Pugin. In Kapiteln zeigt es nicht selten doppelseitig seine Photographien. Das Buch sollte in einer Bibliothek seine Präsenz haben.
Dass Jacques Pugin in bedeutenden Sammlungen wie zum Beispiel Centre Pompidou, Bibliothèque nationale de France, Fotostiftung Schweiz, Musée Réattu, Musée Nicéphore Niépce, Rencontres d’Arles, Centre de la photographie Genève, Musée d’art et d’histoire Fribourg vertreten ist, überrascht nicht.
Jacques Pugin, un photographe qui a beaucoup voyagé, ne s’intéresse pas seulement à l’image en tant que telle. Fasciné par la nature dans les régions les plus diverses du monde, il a recherché, par exemple, l’Inde, l’Amérique latine, les pays désertiques, les paysages de montagne ainsi que des plaines infinies.
L’appareil photo n’est que l’outil, le moyen de la photographie expérimentale. Car l’artiste fait des recherches sur ce genre d’art. Des vidéos et des drones sont également utilisés.
Pugin intervient dans ses photographies. Avec sa plume, il dessine des traces inquiétantes qui symbolisent le passé. Toutefois, il ne s’agit pas d’une question d’artifice stylistique. Les matériaux de Pugin sont des points d’interrogation et d’exclamation pour donner de la validité aux particularités de ses images, pour transmettre son intention (dans) la photographie.
La technique que Jacques Pugin associe au crayon, par exemple, se retrouve dans le light painting. Dans ses représentations des montagnes, par exemple, il utilise sa méthode de travail pour documenter les conditions et les situations dans lesquelles la connaissance involontaire des influences environnementales ou les pensées de destruction de la nature trouvent une inévitabilité. Ses photographies deviennent des peintures.
En ce moment, le Musée gruérien expose Jacques Pugin. L’exposition Tracehumance – Cheminement , créée en coopération avec la galerie parisienne Esther Woerdehoff et dont le commissaire est Audrey Horeau, propose une réflexion approfondie sur l’œuvre de Jacques Pugin.
Il n’est pas surprenant que Jacques Pugin soit représenté dans d’importantes collections telles que le Centre Pompidou, la Bibliothèque nationale de France, la Fotostiftung Schweiz, le Musée Réattu, le Musée Niepce, les Rencontres d’Arles, le Centre de la photographie Genève, le Musée d’art et d’histoire Fribourg.
Jacques Pugin – Tracehumance – Cheminement : Musée gruérien – jusqu’au 28 février 2021
https://jacquespugin.ch/
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Mardi, jeudi, vendredi 10h – 12h, 13h30 – 18h
Mercredi 10h – 12h , 13h30 – 20h
Samedi 10h -17h
Mittwoch 10h – 12h, 13h30 – 20h
Samstag 10h – 17h